L’urbanisme est un processus technique et politique concernant l’aménagement et l’utilisation des terres, les permis d’urbanisme, la protection et l’utilisation de l’environnement, le bien-être public et la conception de l’environnement urbain, y compris l’air, l’eau et les infrastructures entrant et sortant des zones urbaines, comme les transports, les communications et les réseaux de distribution. Les détails avec Jean Francois Charpenet.
Evolution des villes
L’urbanisme est une vision de la ville pour grandir avec le temps, avec la population et avec une nouvelle identité. La ville peut être telle que la répartition de la population doit être uniforme dans chaque partie de la ville et cela peut être réalisé grâce à une bonne planification urbaine avec un système de transport fluide, un réseau d’approvisionnement en eau adéquat, un système de gestion des déchets solides, un système d’approvisionnement électrique, de collecte des eaux de pluie et de drainage. Cela rendra la ville habitable et 80% maintenable par elle-même seulement.
L’impact de l’urbanisme
Selon Jean Francois Charpenet, l’urbanisme impacte les lieux où les gens peuvent vivre, estimer le nombre de ménages qui auront besoin d’être logés dans les années à venir et recommander où, dans la communauté, des terrains devraient être aménagés pour construire des maisons. Travailler également à l’élaboration de politiques qui influent sur le prix des logements dans la collectivité afin de s’assurer que les résidents des groupes à faible revenu et à revenu moyen disposent de logements confortables et abordables pour eux.
L’urbanisme concerne également des lieux où les employeurs peuvent construire des magasins, des bureaux et des usines, en plus de travailler pour identifier les meilleurs endroits au sein d’une communauté pour y installer des usines, des centres commerciaux ou des zones et bureaux. Travailler également à rattacher les emplois à la collectivité. pour le développement économique, devrait collaborer avec l’économie locale pour cerner les besoins et créer des programmes pour répondre à ces besoins.
Jean Francois Charpenet rappelle que l’urbanisme prend en compte les installations de transport (routes, voies ferrées, aéroports et ports maritimes), Étude du système de transport pour déterminer quand des installations de transport supplémentaires sont nécessaires, où elles devraient être construites, et l’option de transport mixte devrait être envisagée.
Le développement communautaire est aussi un élément important : les endroits où les gens peuvent se divertir, les endroits où les gens veulent vivre, l’approvisionnement en énergie.
Gouvernance de l’urbanisme
L’urbanisme, en tant que forme de prise de décision collective concernant les résultats spatiaux, a des objectifs axés sur le renforcement des capacités individuelles, communautaires et étatiques. En même temps, il cherche à équilibrer ces intentions par rapport à un certain niveau d’imposition centralisée de règles et de paramètres qui assurent l’équité, l’efficience et des résultats écologiquement sains dans l’ensemble des établissements, régions et nations. Par la suite, un principe fondamental du rétablissement est qu’il devrait mener à des améliorations, surtout en ce qui concerne la réduction des risques au fil du temps, dans la façon dont l’environnement bâti est géré en fonction de l’éventail des décisions individuelles progressives et des orientations générales du changement qui éclairent les décisions à petite échelle.
Le rétablissement ne devrait pas recréer des risques ou développer des vulnérabilités supplémentaires. Le slogan souvent utilisé à cet effet est « reconstruire en mieux ». En termes d’urbanisme, il s’agit de relever le défi que représente le maintien de l’environnement d’avant l’événement, car il est courant que de nombreux aspects d’une collectivité soient dans un état de service et représentent un niveau d’investissement important. Par conséquent, la perspective de modifier le tracé des routes, les limites des tenures, les règlements de construction et les modes d’utilisation des terres en général, en particulier ceux qui sont coûteux à respecter, peut signifier que des compromis sont faits qui minent la capacité d’améliorer les niveaux de risque pendant le rétablissement. Le principe sous-jacent est de lier la reconstruction post-catastrophe à la réduction et à l’atténuation des risques à plus long terme afin de s’assurer que les mêmes conditions d’exposition et de vulnérabilité ne se répètent pas.
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